Les immunodéficiences primaires regroupent les déficits innés du système immunitaire avec une susceptiblité accrue à des infections. Il s’agit d’affections rares et par conséquent difficiles à étudier. Le besoin de disposer d’informations sur un nombre important de patients a motivé la création d’une base de données internationales par l’European Society for ImmunoDeficiencies (ESID). Ces déficits immunitaires ne se retrouvent pas seulement chez les enfants, mais aussi chez les adultes. Le tableau clinique est très hétérogène. Les cas d’immunodéficience adultes sont beaucoup moins connus et peuvent rester non diagnostiqués.
L’urticaire est une maladie fréquente pouvant être aiguë ou chronique. Le tableau ci-dessous liste les facteurs déclencheurs ou aggravants dont l’éviction est d’ailleurs la première étape de prise en charge. L’article revient lui sur la physiopathologie, le traitement et l’éventuelle chronicité de cette pathologie encore mal connue.
En Suisse, près de 20 % de la population sont atteints de rhinite allergique et cette dernière impacte de manière importante la qualité de vie des patients. L’éviction des allergènes reste la mesure la plus efficace mais n’est pas toujours possible. Les corticostéroïdes intranasaux, les antihistaminiques per os, ainsi que les combinaisons de corticostéroïdes et d’antihistaminiques intranasaux demeurent les traitements pharmacologiques de première ligne. En cas de symptômes réfractaires, lorsque le patient souhaite un effet à long terme ou dans un contexte de prévention de l’asthme, il peut être référé chez l’allergologue pour une immunothérapie spécifique. C’est la seule option thérapeutique ciblant la physiopathologie sous-jacente de l’allergie et avec un effet modificateur sur la maladie.
L’urticaire est une maladie fréquente pouvant être aiguë ou chronique. Sa physiopathologie, centrée sur les mastocytes et de multiples médiateurs dont l’histamine, fait l’objet de nombreuses recherches mais reste encore mal connue. La prise en charge se concentre sur l’éviction des facteurs déclencheurs et aggravants. Les traitements médicamenteux recommandés n’ont pas changé. La reconnaissance de l’urticaire chronique en tant que maladie chronique est centrale dans les dernières recommandations internationales. La reconnaissance de la morbidité et des conséquences de la maladie, dans les cadres privé, social ou professionnel, permet une meilleure prise en charge des patient-es. Ces dernier-ères devront être accompagné-e-s sur le long terme, grâce à plusieurs outils diagnostiques et d’accompagnement thérapeutique.
Les infections sont l’une des principales causes de morbidité et de mortalité dans les maladies lymphoprolifératives malignes telles que le myélome multiple (MM) et la leucémie lymphoïde chronique (LLC). Les causes des infections sont souvent multifactorielles et peuvent être secondaires à des facteurs liés à la maladie ou au traitement. Les nouvelles thérapies ont permis d’améliorer le taux de survie des maladies lymphoprolifératives malignes, ce qui a entraîné une augmentation de l’incidence des déficits immunitaires secondaires (DIS) dans ces maladies.
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